Voici les premiers Lives du Hellfest filmés par la Chaîne ARTE, au programme pour le moment on retrouvera, Nasum, Bukowski, et Lizzy Borden.
Pour retrouver les Photos et toutes les Infos de la chaine pour le Hellfest c'est par là: http://liveweb.arte.tv/fr/part/Hellfest/
Description
La carrière de Nasum s’était arrêtée brusquement, en 2004, suite à la tragique disparition du chanteur (et leader) Mieszko Talarczyk dans le tsunami en Thaïlande. S’il était impossible pour le groupe de continuer sans Mieszko, la fatalité laissait aux autres membres, au-delà de la douleur du deuil, une profonde amertume, un goût d’inachevé. Le chapitre Nasum ne pouvait se refermer ainsi. Alors que le groupe aurait cette année fêté ses 20 ans, Ils ont prit la décision d’organiser une véritable tournée d’adieu en bonne et due forme. C’est leur compagnon et ami Keijo Niinimaa, chanteur du groupe finnois Rotten Sound qui officiera au chant durant ce tour.
Groupe phare de la scène grindcore scandinave depuis le tout début des années 1990, Nasum a contribué à teinter le genre d’impressions de plus en plus hardcore, voire crust. Le chant moins puissant, mais plus âtre de Keijo Niinimaa rendra un hommage sincère au regrété Mieszko.
Description
Originaire de Paris, et issu des cendres de Wünjo, groupe de nü metal membre de la Team Nowhere (Pleymo, Enhancer, AqME…) et de Kwamis, gang de metal hardcore regardant du coté de Lofofora, Bukowski produit un power rock sobre et lourd, souvent tenté par le stoner. Puissant et carré, complexe dans ses arrangements, et ne rechignant pas contre quelques renforts acoustiques pour structurer ses dynamiques, le groupe a acquis, en l’espace de deux albums, une réputation scénique incontestable.
Description
Il y a ceux que l’histoire retient, et puis il y a les autres, les honnêtes artisans qui font l’histoire, mais ne figurent pas dans les livres. Lizzy Borden est de ceux-là. Personne ne cite jamais ce groupe quand on parle de la scène hard’n’heavy californienne des eighties. Rangé loin derrière Guns’n’Roses, Mötley Crue ou Van Halen, Lizzy Borden n’avait pourtant rien à leur envier : les mêmes solos jouées à des vitesses indécentes en tapping engraissés de chorus sur des guitares pointues, les mêmes feulements suraigües, les mêmes leggins aux motifs chatoyants, les mêmes chevelures flamboyantes, le même goût pour des mises en scènes hémoglobiniques. En dépit de quelques légers changements de line-up, Lizzy Borden ne s’est jamais séparé, et a encore sortie en 2007 un album au charme vintage indiscutable.
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