Hemlokk, projet solo Neo Folk / Black Metal Atmosphérique de H. (Æthelheid), créé dans les landes et les basses terres du Sussex, en Angleterre sortira son nouvel album le 27 Février prochain via House of Inkantation. Intitulé Letter to the Buried, il sera disponible aux formats CD, K7 et numérique.
Ce nouveau chapitre s’attarde sur ce qui subsiste après que l’usage, la croyance et la communauté se soient effacés. Il puise dans des espaces ruraux façonnés par des générations de travail et de dévotion silencieuse : un cottage de fermier laissé à l’abandon, une église de village désormais vidée de ses voix, une pierre tombale à moitié engloutie sous la mousse et les feuilles mortes. Ces lieux ne sont pas présentés comme des symboles, mais comme des espaces vécus — patinés, ordinaires, et chargés de sens par leur familiarité.
L’album progresse lentement à travers une palette atténuée de gris et de bleus froids. L’air des marais, lourd de brume hivernale, enveloppe des chemins qui passent sous des portails funéraires et longent des rangées de tombes usées, où la mémoire semble inscrite dans la matière plutôt que racontée. Il n’y a aucune tentative de ranimer le passé ni de le dramatiser — seulement la reconnaissance de sa présence, et de la manière dont elle persiste dans la terre, la pierre et le silence.
Écrit et enregistré entre juin et novembre 2025, l’album a été entièrement façonné dans le Sussex, à l’aide de moyens simples et d’une attention étroite portée à l’environnement. Des enregistrements de terrain réalisés dans les bois alentours sont intégrés tout au long du disque, non comme des ornements, mais comme partie intégrante de sa trame, brouillant la frontière entre composition et lieu.
La photographie de couverture a été prise à l’église St Botolph de Hardham, près de Pulborough — une région où les ancêtres de l’artiste ont vécu et travaillé comme agriculteurs. Ce lien n’est pas mis en avant, mais il informe discrètement la perspective du disque : attentive, ancrée, consciente de la continuité autant que de la perte.
Letter to the Buried est un album sur l’immobilité et l’écoute — de la terre, de l’histoire, et de ce qui demeure lorsque la plupart des choses ont disparu du champ de vision. Un folklore anglais ancien et intime, silencieux et marqué par le temps plutôt que romantisé. Pour les auditeurs sensibles à la mélancolie acoustique retenue de l’ère The White d’Agalloch, ou aux atmosphères telluriques de Darkher.
Ce nouveau chapitre s’attarde sur ce qui subsiste après que l’usage, la croyance et la communauté se soient effacés. Il puise dans des espaces ruraux façonnés par des générations de travail et de dévotion silencieuse : un cottage de fermier laissé à l’abandon, une église de village désormais vidée de ses voix, une pierre tombale à moitié engloutie sous la mousse et les feuilles mortes. Ces lieux ne sont pas présentés comme des symboles, mais comme des espaces vécus — patinés, ordinaires, et chargés de sens par leur familiarité.
L’album progresse lentement à travers une palette atténuée de gris et de bleus froids. L’air des marais, lourd de brume hivernale, enveloppe des chemins qui passent sous des portails funéraires et longent des rangées de tombes usées, où la mémoire semble inscrite dans la matière plutôt que racontée. Il n’y a aucune tentative de ranimer le passé ni de le dramatiser — seulement la reconnaissance de sa présence, et de la manière dont elle persiste dans la terre, la pierre et le silence.
Écrit et enregistré entre juin et novembre 2025, l’album a été entièrement façonné dans le Sussex, à l’aide de moyens simples et d’une attention étroite portée à l’environnement. Des enregistrements de terrain réalisés dans les bois alentours sont intégrés tout au long du disque, non comme des ornements, mais comme partie intégrante de sa trame, brouillant la frontière entre composition et lieu.
La photographie de couverture a été prise à l’église St Botolph de Hardham, près de Pulborough — une région où les ancêtres de l’artiste ont vécu et travaillé comme agriculteurs. Ce lien n’est pas mis en avant, mais il informe discrètement la perspective du disque : attentive, ancrée, consciente de la continuité autant que de la perte.
Letter to the Buried est un album sur l’immobilité et l’écoute — de la terre, de l’histoire, et de ce qui demeure lorsque la plupart des choses ont disparu du champ de vision. Un folklore anglais ancien et intime, silencieux et marqué par le temps plutôt que romantisé. Pour les auditeurs sensibles à la mélancolie acoustique retenue de l’ère The White d’Agalloch, ou aux atmosphères telluriques de Darkher.
Tracklist :
01.
Church Lane
02.
Ghosts of Times Past
03.
Pine Overcoat
04.
Quietude
05.
Bloodstained Fields
06.
Branches
07. Letter to the Buried
08. Waters Edge (Bonus Track)
Hares & Hedges EP (CD-Bonus) :
09. Blackthorn in Bloom
10. Æfendrēam
11. Centuries Old
12. Etched in Oak
Un premier extrait se découvre ci-dessous avec le titre "Ghosts of Times Past" :
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