Plus qu’un style musical, le Black Metal est un univers visuel chargé d’emblèmes et de symboles anguleux où la noirceur domine. Les artistes Kim Diaz Holm, Jannicke Wiese-Hansen ainsi que le chanteur Kristian Espedal, alias Gaahl, analysent pour Tracks ces codes graphiques obscurs. À Bergen, haut lieu du genre, ils évoquent aussi la magie qui naît de la fusion entre peinture et musique.
Le Black Metal s’est imposé comme l’un des genres les plus radicaux et sombres de la pop culture, autant sur le plan musical que visuel. Son esthétique frappe presque autant que ses accords : logos emblématiques, symboles occultes, pochettes d’albums noir corbeau et concerts traversés de hurlements à glacer le sang.
Que cache cette fascination pour le mal et l’étrangeté ? D’où vient cette esthétique et quelle place occupe-t-elle dans cet univers musical ? À Bergen, bastion du Black Metal, Tracks rencontre des artistes qui ont façonné cette identité visuelle si singulière.
Kim Diaz Holm connu pour son travail avec 1349, Abbath ou encore Primordial transforme les concerts en dessins à l’encre noire, exécutés en direct, guidé par les vibrations de l'art noir. Ses images, brutes et sauvages, reflètent l’intensité du genre.
Depuis les années 1990, Jannicke Wiese-Hansen nourrit cette iconographie sombre : tatoueuse et créatrice des logos mythiques de Immortal, Satyricon ou Enslaved, ses œuvres s’affichent aujourd’hui sur des pochettes et des t-shirts dans le monde entier. Quant à Gaahl (Gorgoroth, Trelldom, God Seed), figure charismatique de la scène, il est aussi plasticien et galeriste, explorant dans sa peinture la spiritualité et la mythologie.
Enfin, Kristoffer Aalhus et le collectif norvégien Gordian Visions prolongent cette exploration des expressions artistiques sombres dans une démarche indépendante, au-delà de la musique.
Une émission signée Tracks, sur la fascination pour la noirceur et la puissance visuelle du Metal extrême.
Le Black Metal s’est imposé comme l’un des genres les plus radicaux et sombres de la pop culture, autant sur le plan musical que visuel. Son esthétique frappe presque autant que ses accords : logos emblématiques, symboles occultes, pochettes d’albums noir corbeau et concerts traversés de hurlements à glacer le sang.
Que cache cette fascination pour le mal et l’étrangeté ? D’où vient cette esthétique et quelle place occupe-t-elle dans cet univers musical ? À Bergen, bastion du Black Metal, Tracks rencontre des artistes qui ont façonné cette identité visuelle si singulière.
Kim Diaz Holm connu pour son travail avec 1349, Abbath ou encore Primordial transforme les concerts en dessins à l’encre noire, exécutés en direct, guidé par les vibrations de l'art noir. Ses images, brutes et sauvages, reflètent l’intensité du genre.
Depuis les années 1990, Jannicke Wiese-Hansen nourrit cette iconographie sombre : tatoueuse et créatrice des logos mythiques de Immortal, Satyricon ou Enslaved, ses œuvres s’affichent aujourd’hui sur des pochettes et des t-shirts dans le monde entier. Quant à Gaahl (Gorgoroth, Trelldom, God Seed), figure charismatique de la scène, il est aussi plasticien et galeriste, explorant dans sa peinture la spiritualité et la mythologie.
Enfin, Kristoffer Aalhus et le collectif norvégien Gordian Visions prolongent cette exploration des expressions artistiques sombres dans une démarche indépendante, au-delà de la musique.
Une émission signée Tracks, sur la fascination pour la noirceur et la puissance visuelle du Metal extrême.

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