Après trois ans d’inactivité, Acedia Mundi annonce officiellement la fin de son aventure. Né en 2013, le groupe parisien s’est rapidement démarqué par son approche d’un Black Metal urbain, viscéral et contemporain. Au fil des années et des rencontres, le projet a connu plusieurs mutations, porté par une scène locale bouillonnante et une identité toujours plus affirmée.
"Depuis 2013, le projet a beaucoup évolué au fil des rencontres et des personnes qui l’ont fait vivre. Un immense merci à chacune et chacun d’entre vous de nous avoir accompagnés et aidés à grandir", écrit le groupe dans son message d’adieu.
Nous avions chroniqué à l’époque leur dernier EP, Selfhatred.Addiction, sorti en 2020 via MusikÖ_Eye. L’objet proposait deux nouveaux titres et deux reprises, dans une production entièrement réalisée par leur batteur Angus au Nidstang Studio.
La pochette, signée Faquin (Epectase, Imperial Triumphant…), s’inspirait d’un plan du film The Addiction d’Abel Ferrara.
Entre lourdeur suffocante, passages mélodiques et chant torturé, le disque plongeait dans des thèmes d’errance, d’autodestruction et de haine de soi — autant de motifs qui résument parfaitement l’essence du groupe.
Acedia Mundi laisse derrière lui deux sorties marquantes, Speculum Humanae Salvationis (2017) et Selfhatred.Addiction (2020).
"Depuis 2013, le projet a beaucoup évolué au fil des rencontres et des personnes qui l’ont fait vivre. Un immense merci à chacune et chacun d’entre vous de nous avoir accompagnés et aidés à grandir", écrit le groupe dans son message d’adieu.
Nous avions chroniqué à l’époque leur dernier EP, Selfhatred.Addiction, sorti en 2020 via MusikÖ_Eye. L’objet proposait deux nouveaux titres et deux reprises, dans une production entièrement réalisée par leur batteur Angus au Nidstang Studio.
La pochette, signée Faquin (Epectase, Imperial Triumphant…), s’inspirait d’un plan du film The Addiction d’Abel Ferrara.
Entre lourdeur suffocante, passages mélodiques et chant torturé, le disque plongeait dans des thèmes d’errance, d’autodestruction et de haine de soi — autant de motifs qui résument parfaitement l’essence du groupe.
Acedia Mundi laisse derrière lui deux sorties marquantes, Speculum Humanae Salvationis (2017) et Selfhatred.Addiction (2020).
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