Nouvelle Vague de vidéos Lives du Hellfest par ARTE


Nouvelles Vidéos Live du Hellfest par ARTE au programme Koritni, Napalm Death et Dropkick Murphys:


Description
Séparé de Green Dollar Colour, Lex Koritni monte en 2006… Koritni. Et produit un sleaze rock dans la stricte continuité : c’est-à-dire une musique puissante, et mélodique, empreinte de southern rock et de boogie. En sa qualité d’Australien, l’homme n’essaie pas non plus le moins du monde de cacher son allégeance à AC/DC (pourquoi le ferait-il ?) et participe, avec Airbourne et The Answer, à ce qu’on pourrait qualifier de renouveau du hard rock australien.



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Groupe fondateur du grindcore, une branche radicale du metal qui a emprunté au crust et au punk hardcore sa rapidité d’exécution comme son engagement à gauche, voire à l’extrême gauche (Napalm Death reprend d’ailleurs le « Nazi Punks Fuck Off » de Dead Kennedys). Depuis 30 ans, le groupe produit albums sur tournées, à peu près aussi rapidement que cogne la double pédale du batteur.

Pourtant, derrière ce patrimoine pléthorique à l’apparente homogénéité, Napalm Death est un groupe qui ne cesse de se renouveler. Son line-up change d’ailleurs constamment. On constate un relatif ralentissement des tempos et une composition plus complexe louchant vers le death metal dans les années 1990 le temps de quelques disques (Fear, Emptiness, Despair, ou encore le EP Fear To Breath). Puis le groupe accélère ses beats au début des années 2000 avecEnemy Of The Music Business, pour produire un deathgrind des plus brutal. Depuis, le groupe de cesse d’expérimenter. Le saxophoniste John Zorn apparaît sur Utilitarian, le dernier album tout en nuance et en ruptures, tandis que le groupe publie un disque en collaboration avec Converge.



Description
Fiers descendants d’irlandais et d’écossais émigrés à Boston, Dropkick Murphys brasse gaillardement son punk celtique depuis près de 15 ans. Adoubés par Shane Mc Gowan, chanteur des Pogues, le pape du genre, et lancés dans les affaires par Lars Frederiksen et Tim Armstrong de Rancid, les boys chantent la bière, la fête, le monde ouvrier, les difficultés d’insertions des ex-taulards et des camés, sur un punk d’abord franchement oï, puis de plus en plus rock’n’roll, renforcé de cornemuse et de mandoline.

Très actif dans la vie sociale et associative de South Boston, Dropkick Murphys est un groupe qui joint les actes à la parole. Des grands gaillards aux airs bourrus mais qui ont des cœurs gros comme des barriques de whiskey.

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