Initialement actif entre 2004 et 2010, le duo américain de Black Metal symphonique, Anfauglir signe son retour avec Akallabêth. Ce second album est attendu pour le 27 juin aux formats CD, LP et numérique chez Debemur Morti Productions. Inspiré par l’œuvre de J.R.R. Tolkien, ils ambitionnent de refléter la grandeur de cet univers à travers des compositions cinématographiques conçues pour transporter l’auditeur au cœur de la Terre du Milieu.
Après plus d’une décennie de silence, Akallabêth marque donc une résurrection. Il s'agit d'un album-concept de quatre titres fleuves – tous durant plus de 10 minutes – contant la montée en puissance puis la chute de l’île de Númenor, dans la Deuxième Âge d’Arda et inspiré par Le Silmarillion et Les Contes et légendes inachevés, ce nouveau chapitre
Le titre de l’album, Akallabêth – "les Déchus" en Adûnaic, langue des Númenóréens – évoque la perte irrémédiable de la grandeur humaine. Des dons des dieux aux guerres éclatantes, l’album explore plus de 3000 ans d’histoire, entre prospérité, conquêtes et ruine inexorable.
L’album a été enregistré à Utumno Studios, mixé à Angband Studios, et masterisé par Greg Chandler (Esoteric, Lychgate). L’illustration de la pochette, peignant la colère d’Ilúvatar sous la forme d’un raz-de-marée apocalyptique, est signée Jorge Jacinto, le lettrage par Pierluca Albanese et la mise en page par Yurii Kazarian d'Into The Abyss Design.
Tracklist :
01. The Rise of Númenor
02. The Inevitable Truths of Time
03. Defying the Doom of Men
04. The Downfall
01. The Rise of Númenor
02. The Inevitable Truths of Time
03. Defying the Doom of Men
04. The Downfall
En guise d’avant-goût, le groupe dévoile un extrait intitulé "Part I: The Temple of Melkor", tiré du morceau "Defying the Doom of Men". Cet épisode musical incarne l’un des moments les plus sombres de l’album : la corruption du roi Ar-Pharazôn par Sauron, la montée du culte de Melkor, les sacrifices humains, et la destruction de l’arbre sacré Nimloth. Une procession rituelle transformée en carnage aveugle – tout y est pour illustrer la tragédie imminente.
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