Le groupe japonais de Rock psychédélique, Kikagaku Moyo (幾何学模様) vient de sortir son nouvel et cinquième album, Kumoyo Island. Il est disponible au format digital et LP via Guruguru Brain et se découvre pour l'occasion en streaming intégral, ci-dessous.
L'artwork est une œuvre de Gijs Frielin.
Le groupe explique que ce nouvel album est un voyage au travers d'une île imaginaire. Un endroit idéal pour compter les étoiles, regarder l'océan et danser dans sa rêverie. Le label explique : "À bien des égards, "Kumoyo Island" représente le point culminant d'un voyage pour Kikagaku Moyo. Alors que leur carrière d'une décennie peut se résumer à une série d'explorations kaléidoscopiques à travers des terres et des dimensions lointaines et proches, on retrouve une forte intention dans chacune de leurs œuvres d'emmener l'auditeur dans un endroit particulier, qu'il soit réel ou abstrait. En ce sens, le titre et la pochette du cinquième et dernier album du groupe vous entraînent dans une masse magique de terres entourées d'eau, mais le canapé suggère que "Kumoyo Island" n'est peut-être pas une escale éphémère, mais plutôt un lieu de répit, où l'on pourrait s'arrêter et tout comprendre.
Le titre "Monaka", tire son nom d'un type de gaufrettes japonaises et s'inspire mélodiquement des styles minyofolk traditionnels, tandis que "Yayoi Iyayoi" est un exemple rare du groupe chantant dans sa langue maternelle, ses paroles évocatrices utilisent des mots archaïques tirés d'anciens des livres de poésie et de nature trouvés dans l'une des nombreuses librairies d'occasion de Tokyo. Pour « Meu Mar », une reprise d'Erasmos Carlos, les paroles originales en portugais ont été traduites en anglais, puis en japonais. Curieusement, les mots semblent évoquer l'mage du protagoniste flottant parmi les nuages, regardant la baie de Tokyo.
En fait, il est peut-être possible d'établir un parallèle entre la topographie du pays d'origine du groupe - une nation insulaire entourée de plans d'eau - et la mystérieuse île de Kumoyo. Sont-ils une seule et même chose ? Le groupe est-il enfin rentré chez lui ? C'est à l'auditeur de décider. "
Le titre "Monaka", tire son nom d'un type de gaufrettes japonaises et s'inspire mélodiquement des styles minyofolk traditionnels, tandis que "Yayoi Iyayoi" est un exemple rare du groupe chantant dans sa langue maternelle, ses paroles évocatrices utilisent des mots archaïques tirés d'anciens des livres de poésie et de nature trouvés dans l'une des nombreuses librairies d'occasion de Tokyo. Pour « Meu Mar », une reprise d'Erasmos Carlos, les paroles originales en portugais ont été traduites en anglais, puis en japonais. Curieusement, les mots semblent évoquer l'mage du protagoniste flottant parmi les nuages, regardant la baie de Tokyo.
En fait, il est peut-être possible d'établir un parallèle entre la topographie du pays d'origine du groupe - une nation insulaire entourée de plans d'eau - et la mystérieuse île de Kumoyo. Sont-ils une seule et même chose ? Le groupe est-il enfin rentré chez lui ? C'est à l'auditeur de décider. "
Tracklist :
02.
Dancing Blue - 06:14
03.
Effe - 03:22
04.
Meu Mar - 06:07
05.
Cardboard Pile - 04:06
06.
Gomugomu - 02:04
07.
Daydream Soda - 03:25
08.
Field of Tiger Lillies - 01:19
09.
Yayoi, Iyayoi - 06:58
10.
Nap Song - 02:58
11.
Maison Silk Road - 06:20
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