Live Report | Extreme Factory Festival


   



  En ce jour du 22 novembre 2014 s’est tenu en région parisienne, à Bessancourt dans le 95, la première édition de l’Extrême Factory Festival. Malgré l’annulation de Mantra et de Mur, l’équipe de Scholomance s’y est rendue afin de se faire plaisir et de découvrir ce que l’Extrême Factory avait pour séduire son public de chevelus. On nous délivre ainsi une affiche aussi éclectique que violente ! Rock, Hard Rock, Hardcore, Black Metal ou encore Black Death Metal, le repas s’annonce bien épicé. Pour seulement une dizaine d’euros (ce qui est donc plus qu’abordable pour un festoche), le consommateur peut prendre place et assister dans un univers enfantin (la salle est dans une école) à des shows qui feraient pleurer les enfants les plus durs de la classe de CM2 de Bessancourt ! 


Malgré une époque où le froid commence à s’installer, l’organisation n’a pas froid aux yeux et propose donc de la bière à foison, à manger, du merchandising et du METAL pour réchauffer nos cœurs, nos foies et nos nuques. Se tenant sur un jour, un samedi, L’Extrême Factory Festival est accessible aux gens qui ne bossent pas le week-end, aux étudiants, à la ménagère de tout âge et aux passionnés de tous horizons. Venons-en au running order pour le moins surprenant. En effet, en commençant par Backtrack Lane pour chauffer la salle avec son rock bien sympathique, on continue avec le metalcore de Inner Reflections , le Death de Daturha, le Thrash hardcorisant de Unscarred (avec sa belle chanteuse !), le Black symphonique de Maleficentia, on arrive à 19h45 avec la « pause » Hard Rock/Heavy de Wizzö juste avant le Chaotic Hardcore de AnnaSage, le Black lourd de Lutece et le Metalcore de Magoa… A première vue, on peut s’attendre à une baisse de régime, mais qui sait ? Nous nous sommes jetés dans le bain et avons vu et vécu tous ces instants !



LET’S GO !






14h20 : Pour la digestion, les parisiens de Backtrack Lane nous délivrent avec le sourire un show rock et groovy ne laissant pas perplexe. Les deux paires de frères s’éclatent et le communiquent bien à un public réceptif. Mister Raphael Gatti, chanteur principal donne une prestation vocale sans fautes et plus qu’honorable accompagnée par les chœurs maitrisés d’Adrien Crestey, guitariste de surcroit. Dans un rock moderne collant bien avec le « moove » d’aujourd’hui (ce qui ne  réjouit pas forcément les fans de Rock n’roll de la première heure), rempli de groove, Backtrack Lane nous raconte ses histoires de « trucs pas très légaux dans les catacombes » à travers leur album « Black Truth and White Lies ».




 Malgré une guitare rythmique qui ne s’entendait pas toujours parfaitement, la présence du bassiste rajoutait en lourdeur à ce rock ma foi, simple, mais puissant. On ne peut pas dire que ce show était très attendu par le public chevelu de Bessancourt mais finalement, les rockers ont su surprendre et accrocher la plupart des spectateurs car la prestation était sans fautes et on sentait bien le plaisir que chaque musicien prenait sur scène. Ce live de Backtrack Lane ne fût pas transcendant mais entamait d’une bien belle façon ce samedi métallique !


 



  Nous sommes surpris de constater que la deuxième formation à fouler les planches de la salle Paul Bonneville soit Inner Reflections. Familiers avec ce quintet, nous avions d’ailleurs couvert une de leur prestations le 14 décembre 2013 à la boule noire en première partie de T.A.N.K. Inutile de dire que nous aurions pensé les voir jouer un peu plus tard. Mais se produire devant un public peu échauffé n’a jamais effrayé la formation.

  Sans surprises, c’est avec une sévère envie d’en découdre avec le public dispersé de l’Extreme Factory Festival que le quintet débute sa prestation. Loin d’être étonnés par une telle énergie, c’est avec plaisir que nous constatons une petite foule compacte se former devant la scène. Simon Prime (chant) dirige bientôt les fidèles d’une main de maître et fait bouger les plus réticents des festivaliers. 





  Si Inner Reflections a réussi à se former une fan-base fidèle, ce n’est pas pour rien. En plus de son énergie scénique et musicale, le quintet a su apporter quelque chose de plus à ses compositions : de la musicalité. C’est du moins ce que l’on constate dans les lignes mélodiques qui clôturent « Will You », et qui traduisent un soucis du détail plus qu’apprécié. C’est d’ailleurs ce genre d’éléments qui à nos yeux, ont fait d’Inner Reflections un incontournable de la scène underground locale.

  Cette prestation du 22 novembre 2014 marquait d’ailleurs la dernière prestation de la formation en compagnie de leur bassiste Kevin, qui a décidé de quitter le groupe. Ce rôle est désormais tenu par un nouvel arrivant : Camille (ex-Deep In Hate).





   Daturha est une formation dont nous avions longtemps entendu parler. Et si la mémoire ne nous fait pas défaut, notre confrère de chez E.L.P – Photo en est d’ailleurs le manager. L’Extrême Factory festival est donc l’occasion que nous attendions pour nous faire une idée de leurs prouesses musicales et scéniques. Nous reconnaissons très vite Alex (guitare) et Vincent (basse) qui officient également dans Gaiden, formation que nous avions pu voir le 23 mai dernier  à l’Orchidée du cheval blanc. 
  Le premier constat que l’on puisse faire est le suivant : Daturha fait partie de ces formations modernes de Metal Extrême dont il est difficile de désigner le style à la première écoute. Si nous ne sommes pas surpris de découvrir qu’une bonne partie des structures se fondent en partie sur des rythmiques lourdes il serait de bon ton de mentionner les mélodies et lignes de basse de morceaux tels que « Beyond the Reason ». On retrouve dans les compositions de Daturha une certaine technicité qui se traduira également par une volonté de ne pas tomber dans la répétition des mêmes motifs musicaux. Le seul reproche que nous pourrions leur faire vient de nos exigences en matière de chant clair. En effet, les performances vocales de Max (chant, guitare), donnent l’impression que ce dernier force quelque peu sur sa voix pour atteindre les notes recherchées. Nous aurons également la sensation que sa voix, de manière générale, est quelque peu en retrait. 





  Comme leurs prédécesseurs, Daturha ne manqueront pas de s’illustrer par un jeu de scène conséquent. Les mouvements de Vincent aideront d’ailleurs à créer une synergie de groupe appréciable. Nous aurons beau ne pas être charmés par leur style, Daturha défendent avec fierté leur EP « Beyond the Reason », sorti l’an passé.








   C'est à présent au tour d'Unscarred de monter sur scène. Les thrashers parisiens, comme à leur habitude, sont prêts à asséner leurs riffs à un public qui n'en attend pas moins. On repère dans la foule quelques TShirts à l'effigie du groupe, des habitués sont présents ce soir, dont votre serviteur.
Un cri puissant retentit en guise d'introduction, la chanteuse intime l'ordre à tous les metalheads de se rapprocher, la déferlante s'apprête à tout noyer sur son passage.
   Unscarred inaugure aujourd'hui un nouveau décor. Alors que le back drop n'a pas été déployé, on trouve de part et d'autre de la scène, deux panneaux qui représentent la pochette de leur tout premier album, "100 Lashes", sorti en Septembre dernier. Ils sont superbes et habillent parfaitement l'espace.
Petite surprise au niveau du line-up, Niko, le guitariste rythmique est absent. Pour ce show, il est remplacé par Romain, qui n’officie dans aucune formation à ce jour, et on se demande bien pourquoi ! En effet, celui-ci est plutôt bien intégré au jeu de scène, et surtout, guitaristiquement parlant, il assure ses parties de fort belle manière. Il tient son rôle de remplaçant à la perfection.



     Côté set-list, pas trop de surprises en revanche, du moins pour ceux qui les suivent régulièrement. Pour ne citer que quelques morceaux, "Meet Your Fate", "Rise", "Cross The Line" et bien entendu "100 Lashes" ont été interprétés. Des riffs Thrash, parfois Hardcore, puissants et incisifs, une voix enragée et une énergie scénique qui sublime le tout... du Thrash à la sauce Unscarred !
   Bien que la foule ne soit pas énorme, la fosse est en ébullition ! Pogos, circle pit et wall of death sont de la partie. La frontwoman, n'a qu'à demander, les metalheads qui ont pris possession de la fosse s'exécutent sans broncher et transforment la place en champ de bataille.
   Même si la prestation n'est pas la plus carrée qu’ils aient donné, on leur pardonne bien volontiers car l'intention et l'énergie sont toujours au rendez vous. Ces deux constantes sont la marque de fabrique du combo en live, encore et toujours !  


 
   On eu la chance de revoir Unscarred sur scène une ultime fois après l'Extreme Factory Festival. Ultime ? Oui, du moins avec le line-up qui a enregistré l'album, la chanteuse, Niloofar, ayant annoncé son départ du groupe il y a quelques semaines. C'est donc avec une nostalgie certaine que l'on écrit ces dernières lignes. Souhaitons à Boris, Brice, Franck et Niko de trouver une nouvelle perle rare pour prendre le micro et ainsi poursuivre leur belle ascension. Souhaitons également à Niloo de trouver son propre chemin et de nous régaler encore de sa voix puissante. Nous sommes nombreux à espérer vous retrouver tous sur scène, et ce, le plus vite possible !




 

  S’il est évident que nous saluons la dimension éclectique de l’affiche de l’Extrême Factory Festival – et n’avons pas exclu la possibilité de faire de belles découvertes –, une des principales raisons qui nous ont motivé à venir ce soir, c’est la présence de Maleficentia ; ils sont les gardiens d’un temple peu fréquenté en France : le Black Metal Symphonique. Ce festival hivernal marque leur seconde prestation depuis la sortie estivale de ‘Finis Gloriae Mundi », quatrième méfait de la formation francilienne. Un constat étonnant, au vu de la qualité de cet effort (que nous allons nous faire un plaisir de chroniquer sous peu), et du reste de leur discographie. Habituellement programmés par des associations telles que Pavillon Noir ou encore Battle’s Beer – que nous saluons au passage – c’est devant un public peu familier avec le style que se produisent les quatre musiciens.



  Ces doyens, les voilà bientôt poser le pied sur les planches de la Salle Paul Bonneville. Dans cette ancienne école, on ne sait s’ils sont venus en conquérants, ou en professeurs. Quelle leçon réservent-ils au public de l’Extrême Factory Festival ? C’est ce qu’il nous reste à découvrir. Les lumières se taisent, et laissent place aux exclamations éparses de quelques fanatiques.






  De cette ombre, où leurs silhouettes rejoignent l’abîme,  s’échappe le son limpide d’un violoncelle. Aux vas et viens spasmophiliques de l’archet s’ajoute bientôt un pizzicato rythmé et mélodieux. Le geste se fait plus lent ; il laisse résonner de rondes notes soulignées par l’imposante arrivée du clavier. Les graves se font bientôt rares et cèdent la parole à leurs jumelles aigues. En suspens, chacune de ces notes résonnent en notre esprit ; une courte introspection qui nous est violemment arrachée par le vif tranchant des guitares et des hauts râles de Daevhorn (guitare, chant). C’est ainsi que « Among Wilted Hellebores » succède à « Silence and Perdition ». Nous y retrouvons ces mélodies qui font de Maleficentia une formation si spéciale, ne laissant pas le qualificatif « Symphonique » se justifier par de vulgaires nappes de claviers appuyées par de simples et répétitives rythmiques surexploitées. Bientôt, la basse gronde, et souligne les contretemps. Dans ce sombre univers, chacun des instruments trouve sa véritable place et sait, à tout moment, se démarquer des autres et séduire. Nous assistons ce soir à une véritable leçon de musique où les émotions se mêlent à la technique en un surprenant mélange. Nous nous élevons avec eux au rythme de ces compositions, au rythme de ces monuments du genre.

 




  Il est vrai, cependant, que le jeu de scène de la formation n’a rien de très particulier, et nous ne pourrons souligner que la présence de Daevhorn, qui mène cette danse comme il mène celles d’Ave Tenebrae. Mais sans doute ce style requiert plus de précision dans l’exécution des morceaux que dans le jeu de jambes. Et mis à part quelques rares erreurs, la prestation de Maleficentia est plus qu’honorable. Elle aura, nous l’espérons, séduit avec autant d’ardeur le public du festival qu’elle continue de nous séduire, concert après concert.






  La séduction, c’est justement une science qui n’est pas inconnue à Wizzö. Ce quintet francilien est devenu une belle référence en qui concerne la scène underground du Hard Rock français, puisque les membres de Wizzö sont tout de même allés jusqu’à partager la scène à deux reprises avec Nashville Pussy. Nous avons d’ailleurs déjà eu l’occasion de les voir sur scène – au Triel Open Air, par exemple – et savons à quoi nous attendre. Si nous ne les aurions pas fait jouer après un groupe de Black Metal, leur présence à l’EFF n’est pas un hasard et aura motivé plus d’un festivalier à venir.



  C’est après une courte pause, justifiée par l’installation de la batterie personnelle du groupe, que démarre la prestation de Wizzö. Une performance qui comme à leur habitude traduit cette énergie typique des formations des 80’s, époque visuellement présente sous différentes formes : un véritable voyage en Californie en passant par le Texas et Seattle. Ce soir, la formation défend son premier effort intitulé « Real Hot Stuff », effort qui fut « sold-out » en peu de temps. Et au vu de l’enthousiasme du public, nous pouvons très vite affirmer le constat suivant : Wizzö sont ici en terrain conquit. L’esprit rock’n’roll des compositions anime les festivaliers qui ne manquent pas de chanter les refrains accrocheurs de morceaux comme « Hellraiser » ou encore « Real Hot Stuff » ; un feu qui est ravivé à de nombreuses reprises par Just Jim (chant) qui n’oublie pas de communiquer avec le public. 





  Si les éloges qui sont fait de ses techniques vocales sont nombreux, nous aurons tendance à penser que c’est à cela que se limite son chant : de la technique. En effet, les notes sont atteintes, la tessiture a sûrement du être travaillée, mais il manque dans ces élans passionnés un peu de clarté. Le rendu granuleux et criard aura tendance à nous rebuter. Mais cela ne semble pas déranger leurs fanatiques, qui sont bientôt appelés à monter sur scène et rejoints par notre camarade Hugod.



  En définitive, si les amateurs de musique extrême préféreront sortir de la salle afin de siroter une bière dans l’attente des prestations d’Anna Sage et de Lutece, Wizzö réussiront une fois de plus le pari d’enflammer la foule d’une certaine passion.








  Hmmmm… Une grande touche de noirceur, de déstructuration et de violence ! Malgré un public éparse après Wizzö, les franciliens de Anna Sage reprennent les rennes et choquent. Ça tape fort, très fort. Le public est de plus en plus réceptif à l’écoute des morceaux de « The Fourth Wall », premier EP de Anna Sage. Le ton monte à chaque morceau, la violence également. C’est un pur plaisir. Le Chaotic Hardcore s’immisce avec un très bon son, une maîtrise et un chaud assez sauvage. Les gars n’essayent pas de faire dans le politiquement correct.



 C’est véritablement physique entre les membres de Anna Sage et son public. C’est dans une fin de show apocalyptique que le frontman Kawa descend avec son acolyte guitariste dans la fosse pour donner une leçon de maîtrise de leur propre set. Anna Sage a réussi             à créer une bulle dans laquelle le public était à proprement dit, sur le cul. C’est soit un pur régal, soit un pur dégout. Il n’est pas forcément facile de se faire à ce genre de musique et de show rempli de haine et de noirceur, car chez Anna Sage cela se traduit pas une musique qui n’est pas métronomique et pas forcément très accessible pour un headbanger aguerri. En cette fin de show donc, Anna Sage se retrouve allongé un peu partout dans la salle de Bessancourt ; dans la fosse, sur scène, mais continue de jouer pour notre plus grand plaisir ! En plus de faire un show terrible, ils nettoient le sol ! Un des meilleurs shows de ce festival, l’un des plus sincère et prenant !








  Pour l’arrivée de Lutece, nos gaulois, le public était bien présent. On attendait beaucoup de ce groupe. Avec un pied de micro crânien et un folklore plutôt occulte, Lutece chauffe la salle et déchaine le public. Officiant dans un Black/Pagan/Epique, les chevelus et non chevelus venus à Bessancourt se sont vus ravis par Lutece ; les têtes bougeaient, les nuques chauffaient et les poings se levaient ! Pas de problèmes pour ce groupe parisien bien rôdés et plein d’envie ! Cela fait souvent très bon ménage. En effet, « Our Ashes Blown         Away », dernier album de Lutece a été très bien défendu par ses créateurs ! Hesgaroth, le chanteur montre une technicité scénique assez impressionnante, il est partout sur scène et se donne à son public. Cela fait plaisir à voir et à entendre.




 Lutece ne nous englobait pas dans une ambiance martiale mais plutôt dans un show « Ombre et poussière » ou « Force et Honneur ». Chacun s’y retrouve et lève le poing en l’air ou fait le signe du Sheitan avec ses doigts. Aucune faute, du professionnalisme, Lutece déchaîne les foules et honore sa présence. Du début à la fin, la violence tourbillonne et le son toujours aussi bas et grave fait entrer le public dans une transe consciente. De la violence, de l’honneur et du plaisir. Un très bon  show pour Lutece.








  Dernier concert de cette soirée, Magoa était très attendu. On change encore de style en passant la barrière du Metalcore francilien. Pas de problème pour ces gars bien rôdés. Venus défendre leur dernier album sorti en  2013 « Topsy Turvidom », les cinq membres de Magoa ont un style à eux. A grands coups de Breakdowns, malgré un public bien moins conséquent qu’au départ du festival, Magoa tabasse et matraque son auditoire de riffs et de double pédale bien lourde. Avec un chant dynamique et maîtrisé par Cyd, le frontman, le show est très complet et très juste. Un son parfait qui ne déchire pas les tympans. Pas de larsens inutiles et une production plastique qui met des claques de bonhomme, c’est cela qui a fait headbanger Bessancourt !


 
 Même si les yeux se fermaient à cause de la journée relativement longue, le public restant était bien chaud. La classe de Cyd, portant un beau costard et une crête pas piquée des hannetons faisait décalage avec cette musique relativement violente et donnait à leur metalcore une piqure de personnalité. C’est les yeux lourds et le cœur léger que Magoa a refermé les portes de l’exutoire de L’Extreme Factory, tout en finesse et tout en lourdeur ! Un show honorable. 


  A l'instar des festivals de grande ampleur, l'Extrême Factory Festival peut se vanter de proposer une affiche des plus éclectiques, qui réunirent ce soir là des fanatiques de tous les environs. Le seul désavantage d'une telle affiche, c'est de risquer que tous ces mélomanes ne s'intéressent pas forcément à toutes les prestations présentées au cours de cette longue journée. Toutefois, il n'y eu pas de grande désertions. 
  Les membres de l'association Extreme Factory Live - ainsi que les bénévoles présents - peuvent de vanter d'avoir présenté une première si convaincante. Nous les remercions de nous avoir reçu une fois de plus, et tenons également à nous excuser pour le retard qu'à souffert la publication de ce compte rendu. 


  L'association ne chôme pas et à déjà annoncé sa prochaine date : Disorder Kid + Jimm + Rorsha @ Gibus Café. Le prix des préventes à été fixé à 6 € seulement. N'hésitez pas à les contacter pour réserver votre place !

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Chroniqueurs :
Hugod
Waldo
François

Photographes :


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