Stuurm : TOP 10 - 2017


Vous pouvez ici admirer mon "Top 10" de l'année 2017. J'aimerais toutefois l'expliquer un peu. En effet, je n'aime pas classer les albums du plus "meilleur" au "moins bon", encore pourrait-on dire du "plus convaincant" au "moins convaincant". Le problème c'est qu'au fil des écoutes, l'ordre peut changer, à cause de facteurs très variés et assez incontrôlables. Alors comme à l'accoutumée depuis quelques mois, voilà une sélection (on souligne bien en gras) de 10 albums sortis cette année et plus que dignes de votre attention auditive. Par contre, 10, c'est peu, voire très peu en comparaison de l'avalanche de musique qui nous englouti tous les ans. Tout ça pour dire que nombreux sont les albums qui auraient mérités une place dans ce top mais qui n'y figurent pas. Parmi cette sélection, on trouvera entre autres quelques albums ayant fait l'objet de chroniques de ma part avec LandawarijaR de Helheim, Curse of Dark Centuries de Catacombs Enshadowed et Beyond This World's Illusion de The Sarcophagus. Trois albums bien différents pour lesquels je pourrais bien vous renvoyer à mes chroniques sur le sujet pour plus de précisions, et c'est ce que d'ailleurs je vais faire. Le Dungeon Synth sera pour la première année bien représenté sur un de mes tops, et vous pouvez donc retrouver March of the Triumphator de Barak Tor que j'avais présenté le mois dernier, on ne s'en lasse pas. C'est, comme dirait l'autre, le son idéal pour écraser ses ennemis et les voir mourir devant soi. Un peu de Heavy Metal à la traditionnelle avec La Mort Sera Belle, le nouvel album de Hürlement qui est tout bonnement fantastique, du heavy comme je l'aime, chanté en français et fourmillant d'accrocheuses mélodies épiques. J'attire votre attention désormais sur des albums beaucoup plus atmosphériques avec Elegies Of The Stellar Wind, la nouvelle tuerie sans nom du one man band polonais Evilfeast qui nous replonge de force au coeur des années 90's à grands coups de synthés mélancolico-épiques, de riffs bien raw et de chaînes rouillées. Emyn Muil nous aura emmené une fois de plus dans d'extraordinaires contrées avec son très réussi Elenion Ancalima, un black metal épique de haute volée inspiré de l'univers de J.R.R Tolkien. Darkenhöld nous content avec Memoria Sylvarum une épopée médiévale et onirique avec un opus très vivant et authentique. Pour sa part, Schattenvald sera encore une excellente surprise avec V ... et une chronique à ce sujet est prévue pour le mois de janvier. Enfin, nous terminerons sur Zergananda avec Warsong sorti chez Obscure Dungeon Productions, une sorte de Wardruna avec des orchestrations réalisées au synthétiseur, donc beaucoup moins vraisemblable et crédible en termes d'authenticité historique que le groupe cité plus haut. On embarque alors pour une série d'hymnes à la fois très martiaux et ambients, un album idéal autant pour chiller que pour la muscu. Et puis, on oublie pas non plus les Utred, Sanctuaire, Nokturnal Mortum, Urn, Isegrimm, Vampyric Blood, Author, Havukruunu ...

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